Découvrez dès maintenant Dynamique
Participative

La dynamique participative, est une nouvelle manière d'être ensemble.
C'est l'art du « nous » qui permet l'émergence de l'intelligence collective.
la Dynamique Participative

La « Dynamique Participative », est une pratique, un art, qui a pour but de favoriser et de réaliser l’émergence de l’intelligence collective, la collaboration et la synergie au sein d’une organisation et entre cette organisation et son environnement, grâce au déploiement d’un ensemble de principes, d’outils et de méthodes.

La Dynamique Participative est une méthode de conduite du changement et de transformation d’entreprise qui met l’aspect humain au cœur des activités et des organisations.

Pourquoi développer une Dynamique Participative

La Dynamique Participative :
• permet le déploiement de l’intelligence collective ;
• développe l’intelligence émotionnelle ;
• facilite la conduite du changement ;
• cultive l’intégration des collaborateurs ;
• favorise leur adhésion aux orientations ;
• instaure un équilibre entre l’individu et le collectif ;
• stimule l’innovation ;
• accroît la souplesse et la pertinence des actions ;
• rend l’organisation agile ;
• renforce son alignement sur la mission, les ambitions et les valeurs communes ;
• crée des dynamiques relationnelles de coopération.

« Pour faire de grandes choses, il ne faut pas être un si grand génie, il ne faut pas être au-dessus des hommes, il faut être avec eux »

– Montesquieu

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Faisons le point sur l'aspect

Historique

La Dynamique Participative est issue de la « sociocratie ». La sociocratie signifie littéralement « la gouvernance du socios », c’est-à-dire que le pouvoir décisionnel est confié à un groupe de personnes reliées par des relations significatives.
La Dynamique Participative permet à une organisation ou une équipe de se comporter comme un organisme vivant, de s’auto-organiser.

L’objectif premier est de développer la co-responsabilisation de tous les acteurs et d’utiliser le pouvoir de l’intelligence collective au service du succès de l’organisation.
Le terme « sociocratie » a été inventé au XIXe siècle par le positiviste français Auguste Comte. Ses racines viennent du latin societas (société) et du grec krátos (autorité). Les idées traversent l’atlantique et un scientifique et sociologue américain Lester Frank Ward (1841-1913) poursuit les travaux de Comte.

Dans les années 70, la sociocratie se développe grâce aux travaux de l’ingénieur néerlandais Gerard Endenburg. À l’époque ses parents l’invitent à appliquer les principes sociocratiques pour gérer l’entreprise familiale. Ces principes, il les a appris dans l’école du couple Boeke qui diffuse de nouvelles idées issues, entre autres, de la sociocratie. Plus tard, Gerard Endenburg obtiendra un doctorat et sera professeur de « Organizational Learning » à l’université de Maastricht.

En 2006, Martine Marenne a l’idée d’associer une dimension humaine aux processus sociocratiques. Elle introduit au cœur de la sociocratie les outils et principes de la Communication Non Violente (CNV) qu’elle a intégrés auprès du psychologue américain Marshall Rosenberg et qui permet le développement de l’intelligence émotionnelle et sociale. Elle crée le nom et l’approche « Dynamique Participative » pour souligner l’importance des dynamiques relationnelles dans le développement de l’intelligence collective. Aujourd’hui son approche est diffusée par de nombreuses personnes et utilisée dans de nombreuses organisations.

Dynamique ParticipativeLe fonctionnement

La dynamique participative repose sur trois règles de base :

  • Le mode circulaire (pensée circulaire)
  • La prise de décision par consentement (cercle de décision)
  • L’élection sans candidat (mode de choix)

En plus des trois règles, il y a aussi la distinction entre les temps de rencontre (réunions). Les équipes se réunissent pour :

  • Réfléchir (groupe d’amélioration)
  • Décider (cercle de décision)
  • Coordonner (comité de coordination/direction)

En fonction de l’objectif, l’animateur utilise un mode spécifique pour conduire la réunion. Les réflexions et décisions s’appuient sur l’intelligence collective tandis que la coordination fait appel à un mode plus traditionnel. Sans perdre de vue le respect et le soutien de l’humain.

Lorsque la dynamique participative et l’intelligence collective ont été assimilées par toute l’organisation, celle-ci peut faire un pas de plus en en faisant un principe de gouvernance. C’est ainsi que la dynamique participative peut à terme s’ancrer durablement dans une véritable « gouvernance dynamique » ou « gouvernance participative » de l’organisation. La gouvernance dynamique nécessite, quant à elle, l’articulation de tous les cercles entre eux par l’intermédiaire du double lien.

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Quel est le Prochain pas ?

La dynamique participative est avant tout, une nouvelle manière d’être ensemble.

Pour découvrir, apprendre, approfondir ou expérimenter la Dynamique Participative nous proposons des formations et des accompagnements individuels et collectifs.